Lieutenant-général du baillage de Crépy.

Capitaine en second puis major de cavalerie du 2ème régiment Royal Normandie.
Chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis (1814), maréchal de camp (1815).

° 05.08.1764 Paris (75), + 18.10.1851 Tracy-le-Val (60), fils du chevalier puis comte Louis des ACRES de l'AIGLE (1734-1794).

x 30.01.1809 Tracy-le-Val (60) avec Anne Charlotte "Caroline" Gabrielle de VINTIMILLE du LUC, ° 12.06.1785 Paris p. Ste-Madeleine (75Made), + 10.01.1810 Paris ancien 01er arrondissement, fille du comte Charles Félix René de VINTIMILLE du LUC (1765-1806) et de Marthe Gabrielle Artois de LÉVIS (1765-1794).

Pour plus de renseignements sur la Maison des ACRES de l'AIGLE, visitez l'excellent site d'Arnaud de NADAILLAC.

Capitaine de réserve au Service d'Etat-Major.
Chevalier de la Légion d'honneur, le 12.08.1922.
Conseiller général de Réthondes (60) et maire de cette commune lors de la signature de l'Armistice de 1918 qui se fit sur son territoire.

° 07.11.1875 Paris (75), + 1935, fils du comte puis marquis Robert Arthur l'Espérance des ACRES de l'AIGLE (1843-1931) et de Louise Antoinette Amélie GREFFUHLE (1852-1932).

x 1902 avec Angélique Fanny Elisabeth de COLBERT-CHABANAIS, ° 19.03.1880 Versailles (78), + 1939.

Pour plus de renseignements sur la Maison des ACRES de l'AIGLE, visitez l'excellent site d'Arnaud de NADAILLAC.

Chef d'escadron d'Etat-Major de cavalerie.
Chevalier (décret du 13.09.1823), puis officier de la Légion d'Honneur (décret du 09.01.1833).

° 18 nivôse An XI Paris (75), + 02.12.1875 Tracy-le-Val (60), fils du chevalier puis comte Augustin Louis des ACRES de l'AIGLE (1766-1867) et de la princesse Constance Louise Sophie de BROGLIE et du SAINT-EMPIRE (1782-1866).

x 06.04.1831 Paris (75) avec Pulchérie Félicité Cornélie Ghislaine de VISCHER de CELLES, ° 10.01.1811 Paris (75), y + 21.02.1888.

Pour plus de renseignements sur la Maison des ACRES de l'AIGLE, visitez l'excellent site d'Arnaud de NADAILLAC.

Officier de l'Armée territoriale, secrétaire d'ambassade.
Conseiller général du canton de Ribécourt (60), député monarchiste de Compiègne (60).

° 21.11.1843 Carlepont (60), + 1931, fils du comte puis marquis Louis Victor Arthur des ACRES de l'AIGLE (1809-1893) et d'Elisa Henriette SARTORIS (1815-1896).

x 01.04.1871 Choisy-au-Bac (60) avec Louise Antoinette Amélie GREFFUHLE, ° 05.06.1852 Paris (75), + 29.01.1932 Paris 08ème, fille du comte Louis Charles GREFFUHLE, pair de France, et de Félicité Pauline de La ROCHEFOUCAULD.

Pour plus de renseignements sur la Maison des ACRES de l'AIGLE, visitez l'excellent site d'Arnaud de NADAILLAC.

Conseiller d'Etat.

° 03.11.1881 Le Havre (76), y + 24.12.1966.

Rédacteur de "La République de l'Oise" proche du Cartel des Gauches.
Appelé par le président Léon BLUM en 1936 comme sous-secrétaire d'Etat à l'Intérieur avec le ministre Roger SALENGRO.

° 01.03.1863 Rochefort-Montagne (63), + 08.04.1825 Paris (75).

[Liancourt-St-Pierre (60) 1761-1836].
Administrateur du district de Chaumont, il remplaça VILLETTE après son décès en 1793.

° 16.01.1822 Paris (75), + 07.05.1897 Zucco (Italie).

° 05.04.1801 Paris (75).

Élu à la Constituante par 92588 voix, réélu le quatrième par 41118 voix.
Avocat, maire d'Élincourt (60), ancien député de l'opposition, membre du conseil général de l'Oise.
Commissaire du gouvernement provisoire en février 1848, il fut révoqué bientôt après. Il était, à l'Assemblée, membre du comité des finances. Il passe pour être versé dans les questions agricoles et administratives. Il a voté pour les deux Chambres, contre le vote à la commune, pour la proposition RATEAU-LANJUINAIS, contre la réduction de l'impôt du sel, pour la suppression des clubs, et pour l'ordre du jour en faveur du ministère dans la discussion sur les affaires d'Italie. Il était partisan de la candidature présidentiele du général Eugène CAVAIGNAC, mais il s'est rallié à l'élu du 10 décembre 1848 (Louis-Napoléon Charles BONAPARTE, futur empereur Napoléon III)

Source : "Biographie des 750 représentants à l'Assemblée législative élus le 13 mai 1849" par deux journalistes anonymes - © 1849, Librairie Pagnerre, 14 bis rue de Seine, 75 Paris.

° 04.08.1848 Mouy (60), + 22.10.1913 Paris (75).

° 28.01.1903 Feuquières (60), + 01.03.1978 Paris (75).

Chef de légion du district de Clermont (60), il fut appelé en fait à remplacer à la Convention, le célèbre Thomas PAYNE, un des fondateurs de la République américaine et partisan d'une République européenne, qui avait opté pour un siège de député dans le département du Pas-de-Calais.

° 09.05.1900 Sari-d'Orcino (20), + 10.11.1950 Groslay (95).

Maire de Creil et conseiller général.
Pendant la 2ème Guerre mondiale, il fut arrêté deux fois par la Gestapo, déporté dans le camps de concentration de Mauthaussen et délivré en mai 1945.
Réélu à la mairie de Creil et à la députation, il fit partie de 4 ministères de la IVème République avant de disparaître le 10 novembre 1950 des suites d'un accident d'automobile.

[Fresneaux-Montchevreuil (60) 17..-1825].

Procureur du roi, délégué de Fresneaux.

[Beauvais 1764-1839]

° 23.09.1824 Méru (60), y + 22.02.1895.

° 21.04.1855 La Bénâte (17), + 13.05.1926 Paris (75).

° 10.02.1850 Noyon (60), + 19.06.1935 ...

[Rémy (60) ou Rouy-le-Grand (80) 1758-1799].

Ancien procureur au parlement de Paris, combattant du 10 août et membre du Conseil général de la commune de Paris.
Son envoi en mission dans l'Oise en septembre 1792 le fit connaître et élire dans ce département.
Il était un ennemi déclaré de DANTON et de ROBESPIERRE qu'il attaqua successivement
Il fut membre du Comité de sûreté générale après le 09 thermidor, puis président de la Convention du 1er au 16 ventôse (année 1795) et enfin député sous le Directoire
Condamné à la déportation à la suite du coup d'état du 18 fructidor an V (04 septembre 1797), il mourrut à Sinnamarie en Guyane française, peu après son arrivée.

° 08.11.1880 Auchy-la-Montagne (60), + 22.07.1940 Vichy (03).

Journaliste, député de Clermont (60).

° 25.10.1888 Hermes (60), y + 06.10.1960.

° 14.12.1860 Margny-lès-Compiègne (60), + 23.08.1926 Le Mont-Doré (63).

[Natif de Grandvilliers (60)]

° 03.09.1839 Bernicourt (60).

° 01.09.1846 Paris (75), + 30.03.1921 ...

Aussi sénateur de l'Oise (1888-1906).

° 20.05.1902 Quimper (29), + 16.12.1973 Coulommiers (77).

° 21.12.1851 Liancourt (60), + 01.02.1902 Paris (75).

° 22.10.1827 St-Mandé (94), + 16.03.1910 Paris (75).

° 26.0.1847 Bazoches-les-Brays (77), + 23.12.1918 Paris (75).

Baron prussien fort riche et rallié aux idées de la Révolution.
Il fut guillotiné en même temps que les Hébertistes sur ordre de Maximilien ROBESPIERRE qui le haïssait.

° 01.11.1829 Brissac (49).

[Famille implantée sur Le Fayel (60)]

[1733-1818]
Curé de Sermaize (60) et fondateur de la Société populaire de Noyon (60).

Grand-bailli d'épée.

[Notre-Dame-du-Thil, Beauvais (60) - 1760-1832].
Il remplaça Anarcharsis CLOOTS en février 1994.
Il était depuis 1792 procureur général syndic du Directoire du département.
Démocrate ardent et convaincu, il joua un rôle important dans l'administration départementale pendant les périodes les plus difficiles.
Dénoncé et incarcéré à Paris en octobre 1793, il devint, sous le Directoire, commissaire du pouvoir exécutif près du département.
En 1797, il quitta cette charge pour passer aux Conseil des Cinq-Cents et finit sa carrière dans la magistrature.
Mort du choléra.

° 22.01.1892 Paris (75), y + 18.04.1986.

Député des Alpes-Maritimes de 1951 à 1955
Avionneur, fondateur de la Société des Avions Marcel Dassault.
Grand-Croix de la Légion d'honneur.

Biographie officielle sur site dassault-aviation.com

Aussi sénateur de l'Oise (1957-1959).

Fils de Serge DASSAULT et petit-fils de Marcel DASSAULT.

[° 1747 ou 1757 et + 1817 à St-Just-en-Chaussée (60)].

Cultivateur dans sa commune natale.
Plusieurs fois président de l'Assemblée constituante en 1791 et très actif dans les travaux préparatoires à la mise en place des Contributions directes.
Président du Conseil exécutif du département de l'Oise en 1795.
Napoléon Ier le prit comme administrateur en diverses circonstances et le fit comte en reconnaissance de la qualité de son travail.
Successivement préfet de l'Aisne, conseiller d'Etat, préfet du département de Marengo (actuellement partie du Piémont), intendant général du Trésor au Piémont, administrateur général des Etats vénitiens de Toscane, intendant général d'Illyrie, il devint pendant les Cent-Jours député de l'Oise à la Chambre des représentants.

[Né à Beauvais ou St-Germer-de-Fly (60)]

Curé de Lormaison (60) de 1767 à 1793.

° 01.05.1869 Pont-Sainte-Maxence (60), + 15.04.1939 Paris (75).

Aussi sénateur de l'Oise (1931-1939).

Laboureur à Ableiges (95).

° 04.02.1893 Linselles (59), + 01.02.1981 Cannes (06).

[St-Thibault (60) 1756 - Grandvilliers (60) 1824]

Il fut avec le marquis de VILLETTE (Cf. plus bas) le seul député à voter contre la mort du roi Louis XVI.
Un des députés les plus circonspects du "Marais".

° 22.01.1838 Campneuseville (76), + 18.05.1915 Paris (75).

° 24.05.1859 Béthune (62), + 07.05.1933 Ansauvilliers (60).

Aussi sénateur de l'Oise (1920-1933).

° 26.09.1854 Romescamps (60), + 06.02.1927 Beauvais (60).

° 15.11.1867 Sillé-le-Guillaume (72), + 05.02.1922 Paris (75).

° 28.04.1838 Beauvais (60).

Ancien manufacturier en 1848.

[Beauvais 17.. - Beauvais 1804]

Maire de Beauvais jusqu'en 1793.

° 21.08.1851 Paris (75), y + 14.12.1921.

° 16.08.1891 Les Ageux (60), + 30.10.1993 Paris (75).

° 29.08.1860 Paris (75), + 02.09.1948 Maisons-Laffite (78).

° 07.03.1825 Paris (75), y + 05.05.1907.

Curé d'Ormoy-Villers (60).

Notaire honoraire.

Fils d'un peintre dont les fresques historiques ornent les murs de l'Hôtel de Ville de Compiègne (60).

° 28.05.1943 Paris 15° (75).
Député socialiste de la 5ème circonscription (Compiègne-Sud - Crépy-en-Valois) de 1988 à 1993 puis de la 3ème circonscription (Creil-Sud - Montataire - Méru - Neuilly-en-Thelle) depuis 1997.

Son site : http://www.michelfrancaix.net/ et son CV (mandats politiques, responsabilités au sein du PS, autres) : http://www.michelfrancaix.net/?id=portrait

° 30.03.1808.

Élu à la Constituante par 66831 voix, réélu le cinquième par 39432 voix.
Propriétaire-exploitant, maire de Blincourt (60).
Il faisait partie, à l'Assemblée, du comité de l'agriculture et du crédit foncier. Il a voté contre les deux Chambres, pour le vote à la commune, contre le crédit foncier et la suppression du remplacement militaire, pour la proposition RATEAU-LANJUINAIS, contre la réduction de l'impôt du sel, pour la suppression des clubs, et pour l'ordre du jour en faveur du ministère dans la discussion sur les affaires d'Italie.

Source : "Biographie des 750 représentants à l'Assemblée législative élus le 13 mai 1849" par deux journalistes anonymes - © 1849, Librairie Pagnerre, 14 bis rue de Seine, 75 Paris.

Stanislas de GIRARDIN a été le premier président en date du Conseil général du département de l'Oise.
Il exerçait cette fonction lors de son élection comme député à l'Assemblée législative.
Il connut le célébre philosophe Jean-Jacques ROUSSEAU, hébergé chez son père à Ermenonville (60). Il en épousa les idées sur les principes de la liberté et se montra un défenseur convaincu de la Constitution.
Président de la Législative en juin 1792, il échappa à toute épuration grâce à une mission diplomatique pour l'Angleterre en septembre de la même année.
Il fut plus tard au service de Napoléon Ier et l'un des chefs de l'opposition libérale sous la Restauration.

[Agnetz (60) 1806-1881]
Publiciste considéré comme le fondateur de la presse moderne.
En 1835, son périodique "Almanach de France" fut tiré à 120.000 exemplaires.

[de Crèvecoeur-le-Grand (60)], juge de paix.

[Natif de Beauvais]

° 10.10.1751 Le Plessis-Placy (77), + 23.11.1822 Meaux (77),
fils de Charles Denis HANOTEAU et de Marie Marguerite GIBERT.
Cf. généalogie de la famille GIBERT.
Laboureur au Plessis-Placy.

[Châteaurouge, commune de Cauvigny (60) 1768 - Liancourt (60) 1839]
Cultivateur à La Rue-Saint-Pierre (60), puis à Louveaucourt, commune de Bailleval (60)
Président du district de Clermont (60), député commissaire de la Convention aux subsistances et Représentant du Peuple en mission dans l'Oise (août-septembre 1793), commissaire chargé de l'approvisionnement de l'Armée du Nord, puis de la capitale.
Rapporteur du Comité d'agriculture à la Convention, commissaire du pouvoir exécutif, sous le Directoire, près l'administration centrale du département de l'Oise. Révoqué de cette dernière fonction après le 19 brumaire (année 1799), il se rallia tant bien que mal à Napoléon Ier et fut maire de Bailleval.
Exilé comme régicide en 1816, il se réfugia à La Haye (Den Haag) aux Pays-Bas pendant 3 ans avant de revenir en France en 1818.

[Creil (60)]

Propriétaire, maire de Courcelles-Epayelles (60).
Aussi sénateur de l'Oise (1879-1888).

[Liancourt (60) 1779-1863]
Fils de François Alexandre Frédéric, duc de LA ROCHEFOUCAULD.
Écrivain, une partie de ses ouvrages ont traité des conditions pénitentiaires et de la peine de mort.

Évêque-comte de Beauvais (60) et pair de France.
Il refusa de voter la Constitution civile du clergé et de prêter serment. Ayant engagé le clergé de son diocèse dans la résistance, il fut inculpé d'intelligence avec le Comité autrichien et fut emprisonné aux Carmes.
Il mourrut dans les massacres de septembre 1792.

[La Roche-Guyon (95) 1747 - Liancourt (60) 1827].
Philosophe et philanthrope.
Défenseur des principes d'une constitution monarchique représentative.
A la fin du XVIIIème, il créa une ferme modèle à Liancourt (60),propagea la culture des prairies artificielles et fonda une école (130 élèves en 1788) qui deviendra l'école des Arts et Métiers, transférée vers 1802 à Châlons-en-Champagne (51).
Président de l'Assemblée constituante du 20 juillet au 04 août 1789 puis commandant militaire de Rouen (76).
Exilé après les évènements du 10 août 1792 en Angleterre puis en Amérique, il revint en France en 1799 et commença une propagande ardente en faveur de la vaccination et de l'institution de la Caise d'épargne.
Nommé pair de France par Louis XVIII et élu membre de la Chambre des représentants en 1815, il encourut la disgrâce du roi à cause de son libéralisme.
Il se retira dans ses terres de Liancourt où il poursuivit ses combats humanistes pour l'enseignement populaire mutuel, l'assistance, la prévoyance et le soulagement des pauvres.
Le duc était issu d'une célèbre famille remontant au XIème siècle. Parmi ses ancêtres figurent François de LA ROCHEFOUCAULD, évêque de Senlis en 1607 et autre François de LA ROCHEFOUCAULD (1613-1680), célébre écrivain à qui l'on doit "Sentences et Maximes Morales".

Conseiller au présidial et maire de Senlis (60).

° 24.04.1785 Saint-Pierre-Aigle (02), + 11.08.1765 Nanteuil-le-Haudouin (60).

Maître de poste à Nanteuil-le-Haudouin (60), successeur de son beau-père. Maire de Nanteuil-le-Haudouin, officier de la Légion d'Honneur...

Époux de Louise Adèle FRÉMIN (1787-1860), fille de Jean-Baptiste FRÉMIN, maître de la poste aux chevaux de Nanteuil-le-Haudouin, et de Marie Béatrix LE DUC.

Élu le huitième par 31526 voix.
Il fut élu député en 1832, par l'arrondissement de Senlis (60), en remplacement du général GÉRARD. Partisan dévoué du ministère, il se fit remarquer par son empressement à voter l'indemnité PRITCHARD et à repousser toutes les propositions libérales.

Sources : "Biographie des 750 représentants à l'Assemblée législative élus le 13 mai 1849" par deux journalistes anonymes - © 1849, Librairie Pagnerre, 14 bis rue de Seine, 75 Paris.
Arch. Nat. F/70/117.

Né en 1804 d'un père simple cultivateur.

Élu à la Constituante par 77131 voix, réélu le sixième par 37082 voix.
Avocat, bâtonnier de son Ordre, membre du conseil général de l'Oise, maire de Beauvais (60) depuis la révolution de février 1848.
Défenseur de la feuille de Douai dans le procès qu'elle eut à soutenir au sujet des fameuses lettres du roi Louis-Philippe, il la fit acquitter par le jury de l'Oise. Secrétaire du comité de justice et membre de nombreuses commissions, il a été rapporteur de la loi sur le jury et sur le timbre des effets de commerce. Il a voté pour la proposition RATEAU-LANJUINAIS, contre la réduction de l'impôt du sel, pour la suppression des clubs, contre celle de l'indemnité au commandant des gardes nationales de la Seine, et pour l'ordre du jour en faveur du ministère dans la discussion sur les affaires d'Italie.

Source : "Biographie des 750 représentants à l'Assemblée législative élus le 13 mai 1849" par deux journalistes anonymes - © 1849, Librairie Pagnerre, 14 bis rue de Seine, 75 Paris.

Curé de Cergy (95) puis évêque constitutionnel du département de l'Oise en 1791.
Ardent démocrate, il fut un membre influent de la Société des Amis de la Constitution de Beauvais.
Il se maria en 1793 avec la fille du maire de Givet (08).
Sur proposition de CARNOT, il fut nommé archiviste aux bureaux de la guerre, conserva cette fonction sous l'Empire et rassembla de précieuses collections.
Proscrit en 1815 comme régicide, il alla mourir à Bruxelles (Belgique).

[Compiègne (60) 1763-1833].
Avocat à Compiègne, président du Tribunal extraordinaire constitué pour juger des crimes relatifs au 10 août.
Président de la Convention du 07 au 16 prairial (année 1795).

Conseiller du roi demeurant à Léglantiers (60).

Avocat au Parlement.

Né en 1798.

Élu à la Constituante par 57887 voix, réélu le premier par 55038 voix.
Membre du conseil général de l'Oise. Il était sous-lieutenant de chasseurs à cheval à la bataille de Waterloo, et devint capitaine de la garde royale sous la Restauration. Après la révolution de juillet, il épousa la fille du maréchal Nicolas-Jean de Dieu SOULT, duc de Dalmatie, qui le prit pour aide-de-camps ; il se retira du service en 1832.
Député en 1830, il prit place sur les bancs de la gauche et vota constamment avec elle. Il a été président, à l'Assemblée, du comité des affaires étrangères. Il a voté pour l'impôt proportionnel, pour les deux Chambres, contre le vote à la commune, contre la suppression du remplacement militaire et pour la proposition RATEAU-LANJUINAIS.

Source : "Biographie des 750 représentants à l'Assemblée législative élus le 13 mai 1849" par deux journalistes anonymes - © 1849, Librairie Pagnerre, 14 bis rue de Seine, 75 Paris.

Élu à la Législative le troisième par 42069 voix.
Riche propriétaire. Son élection est due au concours très actif de l'ancien parti conservateur et du parti légitimiste.

Source : "Biographie des 750 représentants à l'Assemblée législative élus le 13 mai 1849" par deux journalistes anonymes - © 1849, Librairie Pagnerre, 14 bis rue de Seine, 75 Paris.

Laboureur à Berneuil-en-Bray (60).

Grand vicaire de Pontoise (95).

Aussi sénateur de l'Oise (1959-1965).

Élu à la Législative le septième par 32061 voix.
Ancien sous-préfet, sous le gouvernement de la branche cadette des Bourbons. Petit-fils de LEBRUN. Sa candidature a été particulièrement soutenue par l'ancien parti conservateur.

Source : "Biographie des 750 représentants à l'Assemblée législative élus le 13 mai 1849" par deux journalistes anonymes - © 1849, Librairie Pagnerre, 14 bis rue de Seine, 75 Paris.

[Beauvais 1765-1810], journaliste.

[Beauvaisis 1755-1813], général d'Empire.

° 23.02.1819 Plailly (60), + 08.05.1855 Roissy-en-France (95).
Fils de Charles-Auguste SAINTE-BEUVE et de Désirée BENOIST.
Cf. généalogie de la famille SAINTE-BEUVE.
Propriétaire, avocat à la Cour d'appel de Paris.

Élu à la Constituante par 48332 voix, réélu le deuxième par 49058 voix.
Membre du comité des finances, il a fait partie de plusieurs commissions et a pris une part active aux travaux de l'Assemblée. Il a voté pour les deux Chambres et le vote à la commune, contre la suppression du remplacement militaire, pour la proposition RATEAU-LANJUINAIS, contre la réduction de l'impôt du sel, pour la suppression des clubs, pour l'ordre du jour en faveur du ministère dans la discussion sur les affaires d'Italie, et en général avec la réunion de la rue de Poitiers à laquelle il appartenait.

Source : "Biographie des 750 représentants à l'Assemblée législative élus le 13 mai 1849" par deux journalistes anonymes - © 1849, Librairie Pagnerre, 14 bis rue de Seine, 75 Paris.

Journaliste de formation, il a été sous-secrétaire d'Etat aux Régions Libérées.

Notaire honoraire, juge de paix d'Attichy (60).

° 28.10.1781 Bouillancy (60), + 05.12.1846 ferme de Champfleury à Puisieux (77)
Fils de Nicolas Charles TRONCHON et de Marguerite Charlotte Suzanne PRÉVOST.
Cf. généalogie de la famille TRONCHON.

° 15.06.1759 Marcilly (77), + 07.11.1828 St-Soupplets (77).
Fils de Nicolas TRONCHON et de Nicole MAREST.
Cf. généalogie de la famille TRONCHON.

Socialiste, maire de Creil (60).
Mort brutalement en février 1936 et remplacé par Jean BIONDI aux élections législatives suivantes.

Aussi sénateur de l'Oise (1933-1940).

Sur Pont-Ste-Maxence (60) et résidant au Plessis-Longueau (60) - [1734-1793]
Elève, filleul et favori de Voltaire, il fut à l'origine du transfert des cendres de ce dernier dont les derniers soupirs furent recueillis par son épouse.
Décédé d'une maladie.
Il fut l'un des deux députés de l'Oise (avec Antoine DELAMARRE) à voter contre la mort du roi Louis XVI.